Total de visualitzacions de pàgina:

dimecres, 25 de setembre del 2019

La tranchée blindée

Je viens de recevoir une visite à la maison. Une visite inattendue, sans doute. Au début, je n’ai rien compris du tout. J’ai dû imaginer un prétexte avant qu’on me l’explique. Parce que tout en fouillant dans le fond de mes pensées, je dirais de n’avoir pas du tout le souvenir d’une demande d’envoi d’un colis pareil, un camion complet ramené par un chauffeur qui maintenant se promène chez moi comme dans un moulin, sa clope tenue à la confortable, entre le bout du pouce et de l’index, les autres doigts repliés. Le gars, lui, tranquillo, tout en attendant mon accord. Il vient de me faire signe qu’il va manger quelque chose avec sa main droite et qu’il revient après. En fait, le plus bizarre a été le fait de constater que personne ne m’a su prévenir de cette arrivée alors que quand-même ça fait quelque temps que j’étais derrière de quelque truc pour donner réponse à mon souci, mais je ne connaissais pas ce qu’il me manquait. Outre le fait que j’avais croisé une petite tranchée pour essayer de voir si à quelques mètres de profondeur j’allais trouver de l’eau, je n’ai rien fait d’autre pour me trouver en face de ce transporteur que je vois traîner en ce moment comme je vous ai déjà dit, avec son camion garé en face de chez moi. De l’eau, j’en avais envie, ouais, j’ai toujours soif en fait, compliqué à savoir s’il s’agit de l’eau plate, pétillante, limonade, etc. Vous le voyez, pas besoin qu’on clarifie davantage, en face de vous un cas figure compliqué, capricieux, inquiet, enfin, bref, très facile à supporter lorsqu’on est jeune, très compliqué à danser avec lorsqu’on ne l’est pas autant. Toujours prêt pour un gros projet, un gros chantier, quelque truc d’envergure, grosse échelle, sans imaginer pourtant la typologie, la durée, les moyens pour le mener à bien. Voilà le doute et hésitation qui plainent sur ma tête depuis longtemps car il est dommage de se sentir prêt à quelque chose, bien capable, able to et, pourtant, rester assis fixé sans bouger en attendant que la boussole s’arrête toute seule pour fournir une direction précise, pareil que la roue de la fortune mais sans avoir dépensé un franc. Entêté à trouver de l’eau, j’ai pas mal rêvé avec, je l’ai imaginée de toutes les couleurs, saveurs, débits, j’avais même acheté des pompes avant l’heure pour en faire face, en cas de débourrage. Bien équipés contre une aléa sur laquelle on ne connaît pas encore la forme. Ce n’est pas possible, il y a un truc qui ne va pas, vous me direz. On a mis la charrue avant les boeufs… quel genre d’équipement, c’est ça, alors ? Un équipement de prévention qui sert à tout, sert plutôt à rien, on ne va pas se mentir. Vous avez tout à fait raison, il va falloir donc penser qu’est-ce qu’on cherche plus particulièrement et le plus intéressant, le pourquoi. Va falloir éclairer notre lanterne si on veut quand-même profiter de tout ce qu’on a appris. Disons que je cherche de l’eau car j’ai soif, jusqu’à ici tout va bien, mais mettons que je poursuis la fouille de ma tranchée, je ne sais pas de quelle manière mais bon…et contre toute attente j’arrive à trouver de l’eau salée. Ah, alors, peut-être je serais mal barré, pour ne pas dire autre chose en buvant cette eau salée. Et c’est comme ça que j’ai compris la visite reçue ce matin dont je vous parle. Si on entre en matière, on doit parler d’une semi-remorque de plusieurs axes, plein, bondé à étais, bracons et butons, en provenant d’un endroit qui me dit quelque chose, vraiment familier, lequel cependant je n’arrive pas à découvrir. Tout ce matériel a pour but de me permettre mieux continuer la fouille de ma tranchée, vrai et seul objet de mon chantier, continuer à fouiller dans des meilleurs conditions de sécurité ainsi que d’un côté purement technique, car la longueur exceptionnel de ces butons jamais vus me permettra des largeurs de tranchée non connues jusqu’à la date et cela me rend heureux comme un poisson dans l’eau. Le chauffeur, un brave homme, a passé des heures papier à la main pour que je le signe. Au début, j’ai pensé que c’était une erreur et même après quelques appels à la terre entière pour effectuer des vérifications, je n’ai pas reçu de réponse. Néanmoins, le chauffeur insiste de façon très éduquée mais ferme, avec des gestes clairs, qu’il ne partira pas sans décharger ledit semi. Fatigué d’attendre toute confirmation je vais procéder donc à signer le papier au bonhomme. C’est sûr qu’avec tout ce machin bien positionné sur la tranchée, on va arriver plus bas en creusant plus large et sécurisé. Au moins, comme ça, on aura toujours de la lumière extérieure,  contrairement à ma petite tranchée actuelle, déclenchée un peu à l’aveugle et sans méthode préalable je vous avoue, laquelle devenait de plus en plus noire et dangereuse au fur et à mesure de la descente. Je serai rassuré maintenant car de cette façon je vais travailler en ayant réfléchi à long terme et éviter ainsi tout risque d’effondrement, même  dans certains périodes d’inactivité, soit congés, soit détente, soit un arrêt, voilà. La tranchée tiendra quand-même. Le travail de la fouille n’aura jamais été donc en vain, elle restera, quoi qui ce soit, toujours ouverte. Ma maison, mon chantier, mon financement, mon budget, je ne suis pas pressé, faisons des choses bien faites. Voilà, le papier signé et le camion qui vient tout juste de repartir chez lui. Je n’ai pas osé demander au transporteur d’où il venait car il ne parlait pas français mais j’ai cru comprendre un accent charmant du sud dans les deux seules phrases qu’il m’a adressé, son « bonjour » et «pas de problème ». Je suis resté comme un con quelques minutes la tête en l’air, bon de livraison et clope à la main, moi, à la classique. Le soutènement et le butonnage pour ma tranchée, c’est bien, mais ça a été encore mieux l’effet inattendu et désintéressé de l’expéditeur anonyme et c’est cela qui va devenir ma chandelle et l’étai de mon état d’âme pour la suite. Je ne sais pas, en fait, si je suis plus content pour le matériel de soutènement ou bien du fait de me sentir soutenu. Non, je ne suis pas naïf, je crois bien aux actions désintéressées, en danger d’extinction mais encore existantes et une des raisons de vivre. Alors ce que je vais faire c’est de publier ce conte dans le nuage pour remercier de façon temporaire cet expéditeur le cas où il me lise quelque jour et puisse se reconnaître dans ces lignes.

dissabte, 21 de setembre del 2019

Enginyers de ponts d'opinió

Sembla que l’Albert Rivera, arreu on va només hi veu espanyols. Jo en canvi, a Catalunya, diria que només hi veig enginyers de ponts. No és cap bogeria aquesta afirmació car d'enginyers de ponts, n’hi ha de tota mena. Deixant de banda aquells que ho són col·legiadament per haver estudiat i superat la feixuga carrera corresponent, també en serien per exemple aquells treballadors d’altres gremis que sempre se les enginyen per convèncer el seu superior quan es presenta l’ocasió d’enllaçar tot divendres o dilluns feiner situat entre un festiu i cap de setmana, amb l’objectiu de no fotre ni brot; no gaire diferent, doncs, d’allò que fan entre setmana. Aquest darrer grup és certament prou nombrós, però no s’acaben aquí els enginyers de ponts, que com ja haureu entès, no cal que ostentin titulació oficial per exercir com a tals.

Gairebé tothom és enginyer si t’adones de com a Catalunya, per sobreviure en societat, has d’amagar o soterrar el teu anhel de llibertat per tirar endavant. Això requereix un veritable enginy, fer veure que ets una altra persona, exactament com un altre jo durant tota la teva vida, negant-te davant de tercers o només parlant-ne o exhibint la teva catalanitat folklòricament amb riures inofensius o capcot a la màquina de cafè. No existeix una altra manera de fer-ho, certament. Obligats a fer mans i mànigues per no tornar-te boig canviant la llengua materna a tothora per quedar sempre bé, o a l’inrevés, copsant el fet que emprar la llengua catalana que t’has esforçat a aprendre no paga la pena i per tant, renunciar a una vida plena en català, és d’allò més veritat que has d’ésser un bon enginyer amb Màster i Doctorat en Submissió. I no només es tracta de suportar l’esmentada submissió, sinó que la qüestió és fer-ho amb estil. Hi ha gent molt bona, autèntics mestres en aquests quefers i com tota cosa bona i nostrada, sempre sorgeix un nou planter de joves ben assenyats i bencarats elevats a les millors escoles, disposats a lluir aquest arquetip quadribarrat estrafet però també marca de la casa, ja sigui dins del Principat, els més esnobs a Madrit, i els més ai-què-irresistible-que-sóc-amb-el-meu-anglès, exportar-ho fora una temporada, tot això sempre per al benefici d’un Mr. Kite foraster. Una característica comuna d’aquesta bona educació rebuda amb calers és el saber fer i saber estar en totes les circumstàncies, absolutament en totes. I és que en el nostre món actual, ja sigui un divorci, un accident, un enterrament, un assetjament o vexació puntual o continuada, has de saber guardar les formes i fer-t’ho com sigui per contenir les emocions. Actuar polidament, en definitiva, asèpticament, és sinònim de persona adulta i assenyada.

Una altra espècie d’enginyers de ponts són la nova versió dels ponters, que antigament eren les persones encarregades de cobrar els pontatges, el peatge per creuar els passos de barca; actualment que ja no en queden el seu significat ha mutat per fer referència a tots aquells espavilats amb do de gents que et poden recomanar a algú. Aquests  nous ponters se les enginyen d’una manera insòlita per tal que el gendre, la nora, el nebot o l’amic d’en Berenguera tinguin una bona posició dins la bona gent que és la que diu governar aquest país.

Però el darrer element definitori i decisiu per anomenar a gairebé tothom d’aquesta manera -i que m’esbalaeix profundament- és la capacitat inherent dels ciutadans que viuen i treballen a Catalunya –com deia Jordi Pujol- de creuar ponts quant al tractament de la realitat es tracta, esdevenint en aquest cas Enginyers de Ponts d’Opinió. En un tres i no res són capaços de passar d’escrutar i analitzar a fons la crònica local més prosaica, a travessar el fangar i parlar directament dels mals que concerneixen el món sencer, les relacions internacionals o el canvi climàtic. Fins i tot s’atreveixen a perdre els estreps quan es tracta de denunciar l’opressió d’altres pobles amichs, com aquests que se’n van a Kobane abillats de Nekane per fer-se la foto. De tot plegat em quedo garratibat amb aquesta manera de defugir la pròpia realitat. Es pot ser analista i opinador profund de gairebé tot excepte de la nostra circumstància nacional. En canvi, només quatre gats -que encara avui caben en un sis-cents- gosen expressar la seva estupefacció, descontentament o indignació quant a l’opressió i progressiu ribotat del seu poble mentre tota la resta, Enginyers de Ponts d'Opinió, fan l’orni d’una manera velada per pensar que parlar-ne pot posar en perill les menjadores respectives. Així veiem, doncs, com es pot parlar de violència de gènere i d’aquí passar a la Guerra de Síria o la mort de Mugabe però, si us plau, ni un mot, mai, ni un de sol per preguntar-vos o demanar-se què està passant concretament aquí, on viviu, que ja no goso dir el vostre poble. El pont o el pi-pont, els equilibris que arribem a fer enlloc més tenen parangó. Afortunadament però, respecte uns anys enrere, la corda ha acabat prou tibada i no dóna gaire més marge a la representació teatral. S’ha acabat el bròquil i alguns ponts ja s’esfondren com el de Gènova. A aquells que fan de polítics representants nostres se’ls veu tant el llautó amb aquest nivell de degradació de la funció pública que han hagut de fer pujar al faristol els seus més il·lustres rufians comediants de la farsa a fer-se els emprenyats i gosar assenyalar un petit reducte lúcid que sembla encaparrat a voler tirar a terra el Teatre Nacional, en un lloc com ja va dir molt bé el visionari entrenador José Mario dos Santos Mourinho Félix, amb el seu irresistible accent portuguès de Setúbal: Catalunya es un país de cultura y sabéis lo que es teatro. Y esto es teatro del bueno. Per cert, futbolers, és per aquesta raó i cap altra que Mourinho no vol entrenar el Barça; perquè hi ha gent com ell amb dos dits de front que coneix perfectament el pa que s’hi dóna i es cansa del teatre etern que es practica en aquest escenari de cartró-pedra. Són gent que vol i exigeix una mica de veritat a les seves ocupacions així com que no li perdonin la vida cada dia. Mourinho em recorda moltes altres personalitats que han estimat com ningú i en silenci o discreció el nostre país, tot oferint-li el millor d’ells mateixos, en el moment de màxima candor, que han acabat tarambanes amb les nostres tares, i tot perquè no n’hi ha per menys. Aquesta llarga tirallonga de personatges de totes les disciplines segur que la coneixeu però encara és tabú parlar-ne perquè són gent oficialment vilipendiada –si eren molt coneguts, odiada –si eren prou coneguts- o repudiada i ofegada –si no ho eren prou encara. Gent amb talent que ha estimat o estima Catalunya i que ha de fugir sempre cames ajudeu-me d’aquesta societat d’enginyers de ponts per no acabar encara més tocats de l’ala.

diumenge, 15 de setembre del 2019

Metafísica de la presa de partit

Darrerament esmento i recomano llegir Joan-Carles Mèlich, un dels nostres pensadors més influents en l’actualitat. Algun en tenim digne d’esment doncs, no cal tampoc remuntar-se -com s'ha dit- a Ramon Llull. L’estil de Mèlich interpel·la el lector degut a la seva claredat, et remou per dins i t’impulsa a l’acció sense fer-ho explícit, només pel simple fet d’anar per feina i no teoritzar sobre el sexe dels àngels. L’autor intenta servir-nos a taula un plat prou cuinat per facilitar la digestió comprensiva d'assumptes sovint molt feixucs i abstrusos per als profans. La seva factura és un respecte absolut pel comensal de tota condició, satisfent alhora l’ànsia calòrica d'aquell simplement afamat i el refinat gust del més gourmet. He de tornar a ell de manera recurrent, agafant els llibrets de la prestatgeria a impulsos per no dir rampells, com si fossin un diccionari salvador que de fet no trobareu a Internet. Pensar et fa pensar més i doncs, millor que els dubtes existencials t’agafin al racó de lectura per tal de tenir el remei ben a mà. Les seves idees acurades ajuden a millor comprendre l’home i la crisi de valors actuals, tot mirant d’enfrontar-s’hi amb noves eines. Els seus Fragments filosòfics, dividits en La lectura com a pregària i La prosa de la vida estan estructurats de manera a facilitar la lectura i, si no tens gaire temps, també la deslectura, tornant a plaçar el llibre a la lleixa i així, sense comiats definitius, en comptes d’un llibre de consum únic i caduc, heus ací una obra de consulta, sempre viva i present al nostre servei pel mateix preu que un tall de cabells. Realment quelcom així és fantàstic, que diria en Punset. Ben trobada l’estructuració i maquetació de l’autor avant la lettre i també després, en consonància amb la tendència comunicativa ejaculatòria d’avui dia pròpia de les xarxes socials, en què un quart d’hora és llargmetratge.
Si hi ha una idea d'aquest pensador que serveix de desllorigador per deixar-se estar de punyetes és la seva reflexió sobre les conseqüències negatives de l’excés de metafísica i la seva recerca dels absoluts i dels immutables que ha dirigit el pensament occidental durant tants i tants segles. Aquesta línia filosòfica ha formatat la nostra manera de pensar de tal manera que hem obtingut l’efecte contrari al desitjat, allunyant-nos de la nostra pròpia realitat, de la comprensió última de la pregunta seminal de què és l’home. Més que la postura filosòfica en si mateixa, el pensador català va més enllà i parla globalment, de l’esquema cognitiu, dels nostres eixos de coordenades mentals amb origen a segon de BUP, quan molts vam començar per primer cop a abordar preguntes difícils i fer-ho sota aquests postulats. Cal fer notar que aquells pensadors que han gosat refutar els conceptes metafísics han utilitzat aquest llegat com a base del seu pensament per començar a rebatre’l, o sigui com a contraposició de la seva tesi i, per tant, amb el mite de la caverna i d’altres sempre al retrovisor, més o menys entelat. Entenc que Mèlich no proposa anular aquestes idees però si treure-les absolutament del centre i origen de l'anàlisi, per tal que no ens ofusqui i en canvi, que esdevingui una posició teòrica entre d'altres per realment posar el focus en una  aproximació a la realitat que hauria de ser l’acceptació de la contingència de la nostra presència personal, del moviment perpetu nostre i el de les nostres pròpies idees ensems, sense tampoc fer d’aquest perpetuum mobile de tot el conjunt una excusa per declarar-se incompetent per filar prim i poder arribar a conclusions. Fet i fet, ja esta bé que la filosofia generi preguntes però també que de tant en tant ens caiguin respostes; no esperem ja solucions tangibles miraculoses però sí certs patrons de conducta per poder millor suportar la lleugeresa de l’ésser. Hi trobo doncs en aquesta recepta del filòsof català una presa de posició humil i alhora valenta pel que fa a desafiar i afrontar els postulats que han marcat o regit el nostre pensament; una postura deutora i desenvolupada de la centralitat filosòfica de l’ètica d’Emmanuel Levinas com Mèlich s’encarrega de fer-hi referència més d’un cop.
Tota aquesta tirallonga introductòria per posar sobre la taula el fet que un element interessant d’aquesta proposició de canvi de paradigma i perspectiva és fer palès que potser per molt intel·ligents que arribem a ser els humans, no tenim els mecanismes –o sigui, la capacitat- per objectivar i tenir una visió global -d’idea platònica o absoluta- dels assumptes que sovint analitzem i volem comprendre profundament. Ans al contrari, aquesta voluntat de voler arribar a escatir allò que no podem és el principi de la nostra insatisfacció permanent i heretada, que ens entossudim a fer valer com el càstig de Sísif. Aquesta benvolguda cura de modèstia que proposa Mèlich és aigua beneïda, ens arriba formulada convenientment en un moment crucial de desgast i perversió de la democràcia, de misèria moral i d’estralls neoliberals que han arrasat arreu la qualitat de les relacions socials i humanes. Vindria bé, doncs, prendre nota que aquesta positura immodesta d’intentar elevar-se a la dreta de Déu per gosar continuar essent arbitres de la realitat, com molts periodistes reputats fan encara d’aquesta tècnica la seva carrera professional –moneda comuna durant els anys gloriosos de l’estat del benestar socialdemòcrata- ha quedat obsoleta. I no només això, ans el més important: es tracta d'una posició perillosa i profundament injusta per als objectius d’entendre la realitat d'ara que preconitzen.
Actualment assistim en aquest món nostrat a una ferum d’interessos creats, una podridura com mai s’ha vist pel fet que des dels darrers anys, com a novetat, ultrapassa els estats i cap agent en solitari benefactor per molt potent que sigui –lobby, moviment- no ho podrà neutralitzar. Com a conseqüència d’aquest càncer, ens trobem amb una crisi de progrés i de valors insòlita a nivell mundial, molt més notable a Occident, abanderat repel·lent del bon fer. En aquest moment crític, voler actuar com a àrbitre és profundament roí. Narrar la foto diària i seqüència dels moviments dels poderosos, acompanyant les seves decisions o presagiant endevinatòriament les tendències com si aquest fos el camí lògic, tot assenyalant amb estil literari els forassenyats que no segueixen el camí recte és d’allò més inquisitorial. Aquesta feina està essent portada a terme malauradament per bones plomes tallades a la juliana on el sol mai no es pon. La cosa va més enllà de la violada frase de Desmond Tutu que diu que “si ets neutral en situacions d'injustícia, has escollit el costat de l'opressor”, car existeix un clar posicionament periodístic de servei al Poder, si tenim en compte que per servir-lo no cal tampoc lloar-lo, n’hi ha prou amb fer-li d’altaveu enunciatiu, i és així com aquesta gent talentosa es guanya el pa tot col·laborant a l’adotzenament popular. Estem vivint un moment en què no posicionar-se en primer terme en grau de denúncia i en segon terme en grau propositiu -si estàs dotat i donat- només serveix per retratar-te a tu mateix, malgrat tenir la teva fidel claca de lectors, amb likes i RT, que t’utilitzen com betum per al seu calçat, per enllustrar els seus TL a Twitter i les seves converses de vermut les quals nogensmenys sempre, sempre deixen a mitges. Hi ha moments a la Història i a la pròpia vida -mala sort, nen, haver nascut en un altre moment- on ens queda més clar que mai el missatge del poeta Gabriel Celaya a “La poesía es un arma cargada de futuro”, musicada per Paco Ibáñez, que diu:

Maldigo la poesía
concebida como un lujo
cultural por los neutrales,
que lavándose las manos
se desentienden y evaden,
maldigo la poesía
de quien no toma partido,
partido hasta mancharse.

dimarts, 10 de setembre del 2019

Pàtria i nació

Em faig creus de com aquella frase ja mítica del president i copríncep Mitterrand, “le nationalisme, c’est la guerre”, ha fet fortuna a França i a tot arreu, aleshores i per sempre. És d’aquestes frases que et surt instantàniament i quedes bé al restaurant, en una reunió o seduint la teva propera conquesta. De nacionalisme, se n’ha de parlar malament o no se’n pot parlar. Fer-ho bé és de mal averany, caus malalt o perds les amistats. Si no es pot parlar de nacionalisme, no es pot parlar de nació ni de pàtria, llevat que sigui un relat colorista i inofensiu i, per tant, biodegradable. Subjectes tabús tots aquests, en efecte; tanmateix, els melòmans escoltem amb molt de gust el cicle de poemes simfònics “Má vlast” –que en txec vol dir “La meva pàtria”- del compositor bohemi Bedrich Smetana i comprenem com una rampellada, d’una banda, el significat de música programàtica i de l’altre, allò que Smetana ens volia transmetre, que no era altra cosa que els efluvis de Bohèmia i per extensió, d’allò que significava per a ell la seva pàtria; la de Smetana, no la del veí. Malauradament, el poema més cèlebre d’aquest cicle, dedicat al riu Moldava, tan potent expressivament i d’una bellesa aclaparadora, encara ho associo al patriòtic NO-DO. Va, deixem-nos de romanços d’una vegada i diguem sense por que la pàtria ho és gairebé tot. És quelcom tan important que precisament per aquesta raó millor que no se’n parli, perquè remet a les entranyes de cada individu, al seu interior més profund, a allò immanent però també a allò transcendent vers l’arrière i doncs, al pòsit llegat i heretat, història i memòria d’aquell territori que tu consideres teu. Només practicant un exercici solitari i sincer per reconèixer com n’és d’important per a tu, la teva pàtria -lloc on les teves arrels són enfonsades, element que serveix per millor explicar-te i definir-te davant un desconegut a l’altra banda del globus- només així pots arribar a comprendre com pot d'important ser la pàtria per a la resta de congèneres, la clau per poder acabar respectant-nos tots algun dia impossible. Estem d’acord doncs que primer de tot, has d’identificar-la, i aquí és on entra el concepte de nació. La pàtria és com la parella, no en pots tenir dues o més alhora, en el cas que asseguris estimar-la de debò. Furtivament, sí que pots, és clar, però ja sabem que això és un estat transitori i no acostuma a acabar bé; en cas de perllongar-se acabes escaldat o boig perdut. Nogensmenys tenim aquests venedors de fum, que diuen que es poden assumir perfectament com a pròpies dues identitats nacionals per una mateixa pàtria. Jo suposo que degut a periples personals nòmades en grau superlatiu es deuen donar casos certament molt singulars en aquest aspecte, tants com practicants contumaços hi ha del poliamor. La bicefàlia patriòtica que branden aquests entabanadors no és més que un fugir d’estudi per no reconèixer que són persones que diuen que els trempa tot, que és com dir que no els trempa res. Curiosament, tots aquests paternalistes que es vanten que les pàtries i banderes no van amb ells acaben els seus dies demanant -com tothom, per cert- ser enterrats o escampats “aquí, amb els meus”, que vol dir també “que allà, no”. Sembla de mal dir que la pàtria ho és gairebé tot, quan de fet necessites tenir-ho clar si vols entendre com es mou tota la maquinària; és gairebé tot per a aquells que s’han pres la molèstia d’auscultar-se i cercar sa veritat, i ho és també per a aquells que diuen no voler saber-ne res d’elles, ni de sa veritat ni de sa pàtria. La pàtria és quelcom que tots tenim inoculat, volem o no, i, per tant, ho portem a sobre des que ens llevem fins que tornem al catre. Que durant el recorregut vital d’una persona aquest fet pugui esdevenir clau i ben present o romangui en un perfil baix o soterrat, això és una altra història; però el fet hi és. Ser conscients de la importància cabdal del subjecte en qüestió et permet millor avaluar la societat, tot veient si aquests sentiments de pertinença a un territori són atesos o no i amb quin grau de respecte; saber si aquests sentiments es reconeixen –reconeixement- o  es menyspreen –rebuig o indiferència. Pàtria i el seu embolcall, la nació –lligats in aeternum- són sentiments individuals que van amarant un col·lectiu i viceversa, sempre realimentant-se, sense origen clar ni final en un mateix. I és que nosaltres només hi som de pas, tot això ja hi era. El problema a l’hora d’abordar sentiments col·lectius és que els efectes seran més dramàtics que els individuals car tot és una simple qüestió d'escala. El límit terminal de la no entesa i enfrontament entre col·lectius per qüestions sentimentals és la guerra, però ja veieu que són els egoismes –en forma d’imposició i opressió- i les pors les que fan que no gosem parlar respectuosament d’aquests temes i, per tant, no voler cercar-hi una solució. L’altre dia debatent amb un col·lega federalista sobre la conveniència de no atiar els debats nacionalistes per no generar enfrontament, un dels seus arguments era que la nació no existeix, que era una pura i perversa construcció mental. Dies després vaig llegir un comentari semblant d’un altre jove periodista lerrouxista. Vaja, que deu estar de moda ara dir que la nació és un invent, un instrument que només serveix per demanar calés, practicar el moralisme xaró o fer la guerra. És ben curiós aquest argument esgrimit sempre per aquells a qui no els hi cal moure un dit per defensar la seva nació, la qual es permeten fins i tot el luxe de negar-la constantment com Pere va negar Jesús. Afirmar que la nació no existeix és de nivell P3, és com dir que l’amor no existeix, que tan sols és física i química, que deia Severo Ochoa. L’amor et pot fer volar, tremolar, perdre el nord, perdre el cognom, fer ruqueries, potser matar, esdevenir Déu o desgraciat per sempre, però has de saber que tot plegat és una construcció mental. A la conversa que manteníem, se’m convidava a obrir els braços al federalisme, el màxim a què es pot aspirar quant a reclamacions de més autogovern i reconeixement de fets diferencials, sembla ser. És un fet que el federalisme és un sistema ben vigent d’organització i governació de territoris, el 40% de la població mundial en aquest moment -segons el meu col·lega federalista-. Les federacions són un mode d’aglutinar territoris -alguns d’ells amb diferent llengua, idiosincràsia, cultura, història i valors- entorn d’un projecte global de govern més ampli, que pot tenir arguments convincents i atractius -o no- però que no deixa de ser un encaix molecular artificial d’uns àtoms naturals. En quins casos d’aquests àtoms se’n pot dir nació, que ens ho expliqui el professor Cagiao y Conde, però és evident que la construcció mental artificial de què parlàvem –perversa o no- serà el dit encaix, i no les seves parts. Pàtria i nació, que ens poden semblar qüestions ontològiques, te les trobes a l’espill de cop -com les nenes bessones de Stanley Kubrick a “The Shining”- quan t’allunyes d’elles per viure fora, experimentant una melangia semblant a l’amor a distància. Quan intentes bastir una vida forana i festejar els nous costums, gaudir dels nous festius i rutines i veus que, tanmateix, et manquen codis, enteses i sobreentesos. Que pots anar-hi tirant i sentir-te còmode amb el temps, però mai sentir-te en harmonia plena amb l’entorn perquè aquest entorn no et relliga a absolutament res del teu ésser més profund, i és llavors quan has de tirar de cinisme o d’histrionisme per mantenir el tipus; envies fotos als teus dient que estàs de puta mare i que no hi tornaràs mai, per exemple. En aquests casos l’ésser estimat serà l’única armilla salvavides capaç de temperar l’amor subjacent a la pàtria, senzillament perquè és l’únic amor que està per sobre. Per a un emigrant, només l’amor profund envers una persona li podrà fer amagar, apaivagar o dispersar l’amargor durant el seu periple estranger. Si la persona estimada pertany a una pàtria diferent sorgirà un amor postís a la pàtria de la persona estimada de manera involuntària, el qual tindrà un cert efecte compensatori, que et pot convenir o no. Tal és la força de l’amor a la pàtria, senyores i senyors. Ja podem concloure doncs que el cosmopolitisme no és pas un sentiment de l’individu sinó badomeries neoliberals amb les quals els rics es fan més rics i nosaltres més perduts cada dia. Que la meva pàtria és el món li diria només i potser ben mamat, a un extraterrestre. Ara mateix al Principat, molta gent que es qualifica a si mateixa com a catalana encara no ha destriat/volgut destriar en la intimitat a quina nació pertany la seva pàtria, their own private Idaho, si la de l’Onze de setembre, la del Dia de la Hispanitat o la del 17 de juny, i per aquí plora la criatura, encara en l'àmbit individual i no col·lectiu, com ens volen fer creure.

dijous, 5 de setembre del 2019

Els guardians del món

Potser perquè érem nens, ens pensàvem que algú es cuidava del món mentre muntàvem a la roda de la fira i ens cruspíem el cotó fluix de sucre. Ens semblava que aquest algú o alguns prenien cura del nostre estimat planeta i que, malgrat no tot fos ideal, hom vetllava pel progrés, la prosperitat i quelcom lògic com és el fet de mirar que no es repetissin les errades del passat. Tal pensament no era només una idea ingènua o eixelebrada pròpia de la infància, perquè el raonament era d’allò més senzill. Es tractava d’extrapolar el funcionament de la llar, el teu veritable primer món, a un altre de més gran i, doncs, aplicar-hi una simple relació d’escala: si a casa hi ha qui mana i vetlla -els pares-, al món segur que també. Aquest sentiment íntim es veia corroborat implícitament en el fet que les autoritats, els mandataris i representants feien l’efecte de ser respectats arreu de manera general per cadascun dels seus conciutadans. S’acceptava el seu rol i tots als darrere. Fins i tot, a estones se’ls lloava la seva tasca i, demés, de manera formal el seu càrrec venia sempre adjectivat amb tractaments protocol·laris ressonants, per exemple: Honorable, Molt Honorable, Molt Excel·lent, Il·lustre i un llarg etcètera. Aquells més propis de la reialesa –Sa Majestat, Sa Altesa- evocaven llargmetratges amb emperadors i altres figures egrègies de la Història, segurament per tant, persones inapel·lables que mereixen tot el respecte i subordinació. A mesura que et vas fent gran vas veient, però, que la cosa no acaba de rutllar; mes no és fins que es pot dir que caus de la figuera –cas que ho arribis mai a fer- que t’adones que tot allò que creies bastit en roca solida és pur fang mesopotàmic. Com que el fang mesopotàmic va ser el material seminal per bastir la nostra civilització, no seria just anomenar d’aquesta manera allò que hauria de ser titllat més aviat de llots putrefactes. El resultat de caure de pet als aiguamolls infectes és un esquema cognitiu vital esfondrat davant teu, ara substituït per un de ben flonjo però tan real com la por que t’ha entrat en descobrir la gran mentida i demanar-te amb un cert neguit agut -si no voleu dir-ne angoixa- com t’ho faràs per controlar aquest present global que se t’esmuny de les mans; tu, que et pensaves tenir-ho tot tan ben apamat.

Una de les coses que la ingenuïtat infantil atorga de fàbrica es creure que estàvem protegits, que mai ens havia de passar res i que hi havia bons, nosaltres, i dolents: els altres. Del costat dels bons -l’únic bàndol pel qual valia la pena interessar-se- hi havia un comitè d’experts o de mandataris que vetllaven pel poble a tothora. Aquest era un sentiment integrat com un xip dins un servidor molt previ a tot allò que es va destapar ara fa cosa d’una dècada amb el Daniel Estulin sobre l’existència del Club Bilderberg o la celebració periòdica de cimeres del jet-set, Davos i totes aquestes merdes. Jo em pensava, sense que ningú m’ho digués, que en algun lloc secret es debatia sobre l’avenir del món per gent que, a més d’intel·ligència i influència atresorés, això sí, bona voluntat, recollint d’una manera que ens pot semblar lògica el fruit secular de la nostra evolució. Sense que ningú m’ho digués, m’imaginava una taula rodona, constituïda proporcionalment per un xinès, un indi, un oceànic-japonès, un antic soviètic-orient mitjà –aquests havien d’anar rotant-, un africà, un de Llatinoamèrica i un de la OCDE. Aquest darrer de la OCDE -dels nostres- que hi tingués sempre dret de veto, esclar. Seria una taula de gent gran, nos vieuxles âgés, -com encara es practica en zones i tribus d’Àfrica i en altres reductes arreu. Gent prestigiosa, representant de la seva societat amb capacitat d’influència dual, és a dir, cap a baix, vers el poble i cap a dalt, vers els mandataris reals. Quelcom així com allò que va imaginar el milionari anglès Richard Branson, proposant i impulsant la creació del grup The Elders, però abans que existís en realitat i que no fos cap proposició propagandística particular, sinó el resultat d’un consens després de dues guerres mundials i les bombes atòmiques, en paral·lel a la creació de l’Organització de Nacions Unides. Gent que, per dir-ho ras i curt, fos respectada i per tant, l’excepció en un món que no respecta res, element que atorgaria encara més mèrit a la distinció d’aquestes persones. Realment no em puc queixar, he viscut molt tranquil tots aquests anys, creixent aixoplugat dins aquest semenfotisme de base.

Fem el que fem, pensàvem, segur que el món treballa en la bona direcció, n’hi ha que se n’ocupen. Conflictes armats com la Guerra Civil Espanyola i la Segona Guerra Mundial em semblaven a anys llum, ciència-ficció, i els altres que es desenvolupaven al món en temps real més lluny encara, tant que es podia afirmar que la taula de savis no era pas infal·lible però estava funcionant de manera prou correcta; segur que feien el que podien. Ai las, arriba un dia, un o varis esdeveniments et fan despertar de sobte. Cadascú té el seu desllorigador: l’atemptat de les Torres Bessones, la magufada de Colin Powell al Consell de Seguretat de la ONU, el cas Palau, la retallada en 2011 de l’aposta per les Energies Renovables, per posar exemples de tota mena. Els meus fidels lectors ja saben quin ha estat el meu desllorigador definitiu, el qual no tornaré a repetir per no avorrir-vos més que Salvador Sostres parlant de Déu o del jutge Marchena i la sopa freda aquest estiu a l’ABC.

Un cop desarmats, nus i sense referents, ¿què podríem treure al capdavall com aigua clara de tot aquest desencís? La lectura invertida de la premsa em fa deduir quelcom que ja s’intueix, no cal ser una llumenera. No és altra cosa que el pressentiment per no dir la certesa que l’home no sobreviurà molt de temps i que si no espavila a colonitzar la Lluna o Mart, seguirà el mateix camí que els dinosaures. És una constatació fefaent que aquells que efectivament manen al planeta no vetllen de cap manera pel seu bé, ans al contrari. No es vol reconèixer obertament però l’aposta global passa per continuar amollant amb les negligències mediambientals i que el canvi climàtic segueixi el seu curs uniformement accelerat. Si es fa algun esforç concret, aïllat i puntual a favor del color verd serà únicament i de manera puntual en cas que es puguin ensumar rendiments associats a estratègies de negoci, res més. No val la pena patir i suar per mirar de cercar acords i consensos mediambientals -impossibles d’assolir- per després acabar essent governats per màquines i robots que ja s’albiren amb molta més nitidesa que quan Asimov va escriure Jo, Robot. Dos són els elements, doncs, que marcaran la fi de la civilització humana, la contaminació i trencament de l’ecosistema actual per una banda, i les màquines, siguin cíborgs o robots, per l’altra. No és cap apocalipsi, donat que fa temps que es veu a venir si porteu les ulleres amb graduació adequades. No hi ha aturador ni taula rodona de savis com jo em pensava i, per tant, ningú no aconseguirà fer respectar les línies vermelles -el fum dels barruts- contra la destrucció dels ecosistemes ni la proliferació de màquines que un bon dia violaran amb tota seguretat les tres lleis de la Robòtica.

Existeix un consens silenciós de les elits en assumir que aquest món -malgrat el progrés científic- va cap al precipici i l’única incògnita serà besllumar una data aproximada per a la fi de la vida humana a la Terra. Aquest consens, l’autèntic, que no ha passat per cap cimera climàtica insostenible, fa que alguns dirigents -com he pogut sentir Trump o Bolsonaro darrerament- hagin llançat la tovallola del políticament correcte i així ho expressin sense embuts, i pensin que cal deixar-se de romanços i pensar només en l’ara i aquí i, per tant, continuar amb la pruïja d’excessos dels quals semblàvem haver-nos deslliurat i haver-ne pres deguda nota a Kyoto, molt abans de Gretes Thunbergs.